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Garer la voiture sur le parking supérieur de Gourette, au-dessus des tennis et emprunter la piste carrossable qui surplombe la station sur environ 800 m. On trouve à droite un chemin bien balisé qui monte en sous-bois puis en terrain plus dégagé en direction du col de Tortes. |
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Bien qu'il ne soit pas nécessaire de grimper jusqu'au col, y monter permet d'observer de plus près la fameuse torchère de granit nommée Capéran de Tortes, visible de Gourette. |
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La réputation de ce piton rocheux a attiré et attire toujours de nombreux grimpeurs, ainsi Jean-Michel Ollivier, fils de Robert, l'auteur des célèbres guides d'escalade, François Cazalet et autres membres du Groupe pyrénéiste de haute montagne (GPHM), vinrent y faire leurs gammes. |
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À l'altitude 1.700 m, soit une centaine de mètres avant le col, bifurquer à gauche entre deux gros rochers en suivant un sentier qui file en balcon au-dessus de Gourette. Bien marqué au départ, celui-ci disparait plus ou moins, envahi par la végétation. |
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On débouche dans une combe où le temps semble avoir suspendu son cours. On la traverse en diagonale en passant auprès d'une cabane dont ne subsiste que le linteau, puis on prend en écharpe la croupe herbeuse qui nous fait face. La voie est évidente. En l'absence de balisage, s'aider des sentes de moutons. |
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Pousuivre en balcon jusqu'au col de Casteix (1.800 m), plate-forme qui surplomble l'Aubisque et où paît un troupeau de chevaux. |
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De là, on peut gagner le sommet de la Géougue soit en suivant le fil de la crête et en louvoyant entre les saillies rocheuses, soit en effectuant un arc de cercle et en remontant les pentes herbeuses assez redressées (bâton ou piolet utile, si l'herbe est mouillée). |
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Bien que d'altitude modeste (1.945 m), le sommet de la Geougue, que l'on atteint en deux petites heures, est un incomparable belvédère sur le cirque de Gourette, le Pène Médaa, le Pène Sarrière et le pic de Ger, mais aussi sur la Latte de Bazen, la vallée du Valentin, le Grand Gabizos, etc. |
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